Bonjour,
Pour mon avertissement "page-link", ma version est la 2.20.0. Mais je vais fouiller la doc..
Pourriez-vous fournir un exemple minimal qui provoque l'avertissement et donner la sortie console complète ?
Ça m'ouvre une perspective pour mon livret que je signale juste au passage : je potasse l'accordéon chromatique basses standard... ça me permet du coup de me faire le même livret dans des tonalités différentes (les méthodes sont toujours concoctées en DO... une instruction et hop je fais mon livret en MI, par exemple !)
Il est même possible (et courant) de produire plusieurs fichiers sortie dans différentes tonalités. Lorsqu'il n'y a qu'un \score, c'est très simple avec une variable (\maVariable et \transpose a b \maVariable). Pour le cas où le document contient plusieurs pièces, voici une astuce. Il faut séparer votre code en deux fichiers, le fichier maître, nommé par exemple Livret.ly, et un fichier contenant la musique, mettons notes.ily. Le premier, Livret.ly, contiendra tous les réglages généraux, à savoir \header, \paper, \layout, set-global-staff-size, etc., ainsi qu'à la fin, ceci :
ton = c
\book {
\include "notes.ily"
}
ton = d
\book {
\bookOutputSuffix "clarinette"
\include "notes.ily"
}
Quant à notes.ily, vous y mettrez tous vos blocs \score sous la forme suivante :
\score {
\transpose c \ton {
musique...
}
\header {
...
}
}
Lorsque vous compilerez Livret.ly, deux fichiers PDF distincts seront produits, l'un nommé Livret.pdf qui sera le livret en tonalité de concert (sans transposition), et l'autre, Livret-clarinette.pdf, contenant les mêmes morceaux transposés pour la clarinette. Voir notamment LilyPond Notation Reference: 3.1 Input structure
Dans Frescobaldi, il est recommandé d'ouvrir Livret.ly et de cocher « Toujours graver ce document » (dans le menu LilyPond). Puis, ouvrir notes.ily, éditer, et compiler de la manière habituelle : c'est alors Livret.ly qui sera compilé et vous verrez le livret en tonalité de concert tout en ayant aussi celui de la clarinette dans votre dossier de travail.
Bien cordialement,
Jean Abou Samra