Quelques conseils complémentaires : il est utile de travailler avec des
variables : compositeur, dates de naissance et décès, date de composition,
titre, genre, instrument, type de partition, ...
On peut ainsi, si ces variables sont placées dans un fichier séparé,
réutiliser toujours le même code pour les différentes partitions, en
changeant uniquement les variables.
Il faut alors garder la variable #(set-global-staff-size xx) constante d'un
travail à l'autre, car sa modification entraîne le redimensionnement de tous
les éléments textuels.
Il est également possible d'utiliser un petit fichier image (sous forme
PostScript), qui constituera une espèce de "marque de fabrique", une
personnalisation de ta partition - par exemple un sigle qui indique
l'association pour laquelle tu réalises tes partitions.
Tu peux ajouter dans le bloc \paper la ligne :
first-page-number = -1
et empêcher la numérotation des deux premières pages. La page 1 effective
sera alors la troisième page, les deux faces de la page de couverture ne
seront pas prises en compte.
Pour ajouter une page blanche, il suffit d'écrire :
\bookpart {
\paper {
print-page-number = ##f
}
\markup {\null}
}
Les headers et footers doivent alors être désactivés.
Pour faciliter la mise en page (via Frescobaldi), il faut activer "options
de contrôle de mise en page" dans le menu "outil", puis cocher "annoter
l'espacement", et lancer le calcul à partir du petit nénuphar de cette même
fenêtre, et le PDF montrera les marges, les distances verticales,
interlignes, ... ce qui facilite grandement la répartition des textes sur la
couverture, ou la réalisation d'un encadrement (\box)
Cordialement,
Jean-François
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